Conduire gelé, c’pas mieux que conduire paqueté
Si tu prends du cannabis comestible, fais ce qui te plaît, mais conduis pas.
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Si tu prends du cannabis comestible, fais ce qui te plaît, mais conduis pas.
Les jeunes conducteurs canadiens qui consomment du cannabis sont plus à risque d’être impliqués dans un accident de la route, même cinq heures après en avoir inhalé : c’est ce que révèle un essai clinique mené par l’Université McGill et l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) et financé par l’Association canadienne des automobilistes (CAA).
Les résultats de cette recherche montrent un déclin marqué des habiletés essentielles liées à la conduite, comme la vitesse de réaction, et ce, même cinq heures après avoir inhalé une dose de cannabis inférieure à ce qu’on trouve habituellement dans un joint. En outre, les facultés de conduite des participants (évaluées sur un simulateur) se détérioraient dès qu’ils étaient exposés à des distractions comme celles qui se produisent inévitablement sur la route.
Faux. Conduire sous l’effet du cannabis diminue vos facultés à conduire de façon sécuritaire et augmente le risque d’accident.
Faux. Au Canada, les policiers peuvent arrêter un véhicule pour vérifier l’état du conducteur; les appareils de contrôle et les experts en reconnaissance de drogues peuvent alors déceler des facultés affaiblies.
Faux. 45 % des accidents surviennent près du domicile. Conduire dans un environnement familier diminue la vigilance, et l’on sait que consommer du cannabis affecte l’attention.
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